Sélectionné à la Semaine de la Critique, Cannes 2002. L’ étalon de bronze au Fespaco 2004.
KABALA un classique du cinéma africain à découvrir, douze ans après sa sortie officielle entre tradition et modernité, entre sexualité, folie et désir humaines.
Le réalisateur du film Assane Kouyaté décédé en 2021 alors qu’il était sur la post-production de son tout dernier long-métrages CHEYTAN maître de la mise en scène et du suspense et aussi un très bon acteur utiliser à plusieurs reprises par le doyen Souleymane CISSE.
SYNOPSIS
Kabala, une petite bourgade du Mandé cruellement frappée par la sécheresse, se débat entre la vie et la mort. Le puits sacré présente des signes de tarissement. Les anciens organisent la danse du feu pour le féconder. Hamalla ne peut y participer en raison de sa naissance douteuse. Humilié, il quitte le village et la femme qu’il aime. Quatre années passent. Hamalla revient au village. Il désire épouser Sokona qui, entre-temps, a été promise à Sériba. Après un conseil de famille houleux, Hamalla doit convaincre les anciens de la nécessité vitale de forer dans le puits sacré, symbole de toute la spiritualité du village.
Durée : 1 h 52 Genre : fiction LM
Thèmes : croyance, tradition
Format : 35 mm, couleur
Année : 2002 Format : 35 mm, couleur
Interprètes : Djénéba Koné (Sokona), Modibo Traoré (Hamalla), Fily Traoré (Sériba), Hamadoun Kassogué (Sibiri), Siaka Diarra (Namory), Sory Ibrahima Koita (Fakourou).
Réalisateur : Assane Kouyaté
Scénariste : Assane Kouyaté
Image : Jean-Michel Humeau
Son : Bakary Sangaré
Montage : Andrée Davanture
Musique originale : Cheick Tidiane Seck
Décor : Klétigui Dembélé
Production : Mandala Productions
Distribution : Wide Management
La Rédaction
JOURNAL DU CINÉMA ET DE LA TÉLÉVISION